Elle souffrait d’insomnies sévères depuis 30 ans !

Un puissant témoignage à la suite d’une parole de connaissance. Notre sœur raconte comment Dieu l’a guéri et restauré. Regardez et lisez son témoignage!

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Trente ans à souffrir

Je voudrais remercier le Seigneur parce qu’en fait c’est vrai que j’étais l’une des personnes en tout cas qui souffraient d’insomnies depuis pratiquement déjà trente ans. 

Trente ans d’une vie à souffrir de manière horrible, horrible, horrible,  horrible !

Oui, je pouvais parfois faire six mois, quatre mois jour et nuit sans fermer les yeux. Je contemplais… Enfin, je voyais tout. Jour et nuit sans fermer les yeux, sans dormir tout en gardant une activité professionnelle parce que je n’ai plus 20 ans non plus, et à travailler. Et c’est vrai que ces périodes d’insomnies,  ce que les gens ne se rendent pas compte,  c’est que ça provoque aussi une forme de dépression. Je ne devrais pas dire « Insomnies » mais « Gros troubles du sommeil. »

Le fait de ne pas dormir un jour,  deux jours… On a déjà vu nous mêmes que quand on a mal dormi un jour ou deux jours  comment on peut être parfois très irrité et très agacé. Mais imaginez-vous quand on fait parfois un mois, deux mois, quatre mois, cinq mois, six mois à ne pas fermer les yeux. Donc j’étais le genre de personne qui était habituée. Quand je faisais trois heures de sommeil, J’étais heureuse, je me levais,  je louais le Seigneur,  je bénissais le Seigneur.

Je ne prenais pas de médicaments. Et c’est vrai que, quand parfois quand le corps lâchait (parce que j’ai une profession qui demande quand même à être très active : Je travaille avec des personnes autistes et des jeunes aussi en foyers)  j’allais voir le médecin.

Parfois  quand on fait six mois sans dormir c’est très compliqué. Il m’arrivait parfois de ne plus reconnaître le chemin de mon travail parce que la mémoire commence à disjoncter, ou les prénoms des résidents…

Je pouvais reconnaître les personnes, je sais un tel et un tel mais citer son prénom j’étais incapable.  Pouvoir écrire aussi. Je ne savais plus écrire quand c’était la période de six mois. 

Six mois c’est la plus grande période où je suis restée sans dormir. C’est vrai que quand j’étais amenée à donner des traitements  aux résidents de mon travail, je ne le faisais pas, je ne rendais plus de transmissions pendant très, très, très longtemps. Mais le Seigneur est merveilleux parce que c’était parfois mes responsables qui prenaient à ma place. On est dans un métier où on doit rendre des comptes, on doit voir un suivi dans le travail, et c’est eux qui prenaient à ma place. Quand on disait : «  Pourquoi est ce que Fanny n’écrit pas ? Qu’est ce qui se passe ? » Ce sont  elles qui se faisaient gronder comme des poissons pourris à ma place parce qu’elles couvraient à chaque fois les choses, mais jamais sans me poser la question : « Fanny qu’est ce qui se passe ? »

Il m’arrivait de :

-Ne plus savoir mettre mes chaussures correctement. Parfois, je prenais mes chaussures et je mettais le pied gauche à la place du droit. Oui, parce que ça grillait à l’intérieur.

-De souffrir de tocs parce que la mémoire n’est plus … Je peux fermer la porte de chez moi quatre à cinq fois. Je sors,  je rentre : « Est-ce que j’ai fermé, est ce que je n’ai pas fermé ? »C’était un calvaire en plus des attaques et des combats.

Donc,  Je ne prenais pas de médicaments. Parfois j’allais voir le médecin pour qu’il puisse m’arrêter parce que le corps était très épuisé. Je n’ai jamais voulu rentrer dans le système des médicaments. Pourquoi ? Je me disais, comme je vivais seule, s’il m’arrive quelque chose, une persécution ou je ne sais quoi et que je ne sois pas apte à pouvoir répondre, à me lever dans la prière et je ne voulais pas devenir …enfin c’est le terme, une loque encore plus dans l’état dans lequel j’étais. Donc, c’est vrai parfois j’allais voir le médecin plus pour qu’il puisse m’arrêter, rester à la maison, donc me reposer. Les médicaments je ne les prenais pas, je les mettais tous dans les toilettes. Je vidais tout dans les toilettes.  Je me disais : « Ne rentre jamais dans ce système des médicaments. »

Donc, dimanche dernier quand il y avait le week-end de guérison et de délivrance,  je suis venue. Et le Samedi soir,  le Seigneur me parle, Il me dit : « Ma fille, je vais te guérir des insomnies, je vais te guérir de telle et telle chose. »

J’étais dans mon lit et j’étais là, j’ai répondu comme ça : « Oui, Seigneur. »

Le Seigneur me répond : «  Tu ne crois pas en ce que je te dis ? »

J’ai fait : « Si, Seigneur, je crois. Ce que tu dis, tu le feras. »

Mais tellement le Seigneur m’a dit plusieurs fois : «  Je vais te guérir, je vais te guérir, je vais te guérir. »  

J’ai fait : « Seigneur, j’aimerais pouvoir palper cette guérison. J’aimerais pouvoir vivre  vraiment cette guérison c’est pour ça que je te dis : « Ben ! Quand tu le feras, ben ! Je serai heureuse de le voir. »

Et c’est vrai que quand je suis venue le dimanche dernier, je bénis le Seigneur parce que dans la…. Très, très longtemps de ma vie, très, très,  très longtemps de ma vie je n’ai pas le souvenir où j’ai pu dormir. C’est vrai que je me suis avancée parce que le Pasteur Bola a donné une parole de connaissance : «  Les personnes qui souffrent d’insomnies, de troubles du sommeil. »

 Elle a commencé  a délivré des paroles, des déclarations. Mais après le Saint-Esprit lui a dit : « Non, c’est des troubles qui sont très, très forts. Ça revient fortement. 

Et du coup ça m’avait …. J’étais là je regardais, tellement ça faisait des années, je suis restée à ma place. Et quand j’ai eu à venir devant, c’est vrai qu’on a prié pour moi et je bénis le Seigneur parce qu’après trente ans d’une vie de calvaire et de calvaire, j’ai pu dormir je ne sais pas combien de temps. Je sais qu’à 21h je me suis couchée et je me suis réveillée, il devait être 9h du matin. 

Donc, vraiment, je bénis le Seigneur.

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